« Il est assez exaspérant de s’apercevoir que l’on a les mêmes interrogations que tout le monde. C’est une leçon de modestie.
Ai-je raison de quitter quelqu’un qui m’aime ?
Suis-je une ordure ?
À quoi sert la mort ?
Vais-je faire les mêmes conneries que mes parents ?
Peut-on être heureux et, si oui, à quelle heure ?
Est-il possible de tomber amoureux sans que cela finisse dans le sang, le sperme et les larmes ?
Ne pourrais-je pas gagner BEAUCOUP PLUS d’argent en travaillant BEAUCOUP MOINS ?
Quelle marque de lunettes faut-il porter à Formentera ? »
Beigbeder, Frédéric. L’amour dure trois ans. Gallimard, Collection Folio. 1997. p. 84
C'est peut-être toutes les mêmes interrogations, mais je doute que toutes les réponses soient les mêmes. C'est c'qui fait la beauté d'la chose.
RépondreSupprimeret de toute façon, si en quelque part les humains peuvent avoir quelque chose en commun, c'est déjà ça.
RépondreSupprimerBien dit!
RépondreSupprimeret puis sinon est-ce que twitter te fait tripper au max
RépondreSupprimerhaha, je commence à l'apprivoiser tranquillement pas vite! Je l'apprécie bien!
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