« Allongé sur le dos, je
regardais le plafond, immobile, les pieds croisés sur le lit, les mains dans
les poches de mon manteau. Qu’avais-je à faire ces jours-ci à Tokyo? Rien.
Rompre. Mais rompre, je commençais à m’en rendre compte, c’était plutôt un état
qu’une action, un deuil qu’une agonie. »
Toussaint, Jean-Philippe. Faire l’amour. Éditions de Minuit,
Paris, 2002. p. 106
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