« Whilelm, c’est ainsi et je ne murmure point, les fleurs de la vie ne sont que des apparitions ! Combien passent sans laisser une trace, combien rares celles qui donnent des fruits, combien rares ceux de ces fruits qui mûrissent ! Et pourtant, de ces fruits, il en est assez; et pourtant... oh! frère!... ces fruits mûrs, pouvons-nous les négliger, les laisser pourrir sans y avoir goûté ? »
Goethe. Les Souffrances du jeune Werther. Garnier-Flammarion, Paris. p.92
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