« Irène regarde autour d’elle. Mais elle ne lit ni étonnement ni émotion sur les visages des autres et elle reste désemparée. Pourquoi je peux pas être comme les autres? Pensa-t-elle faiblement. Est-ce que ça serait différent si c’était moi qui sautais toute nue au milieu des autres en voulant me battre? »
Dagerman, Stig. Le Serpent. Gallimard, Collections L’Imaginaire. Stockholm, 1945. p. 93
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