« J’essaie de combattre l’intérêt
que je prends pour elle, je me figure ses yeux, ses joues, son nez, ses lèvres,
en pleine putréfaction. Rien n’y fait : l’indéfinissable qu’elle dégage
persiste. C’est dans des moments pareils que l’on comprend pourquoi la vie à se
maintenir, en dépit de la Connaissance. »
Cioran, E.M. Ébauches de vertige. Éditions Gallimard,
Collection Folio, 1979, p.39
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